
Le bureau du procureur général d’Istanbul a émis, mercredi, un mandat d’arrêt contre le maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, et 99 autres personnes, les accusant de corruption, pots-de-vin et infractions liées au terrorisme.
Les autorités allèguent que le maire aurait placé des proches collaborateurs à des postes clés au sein de la municipalité, facilitant ainsi un réseau de malversations via des sociétés écrans.
Liens avec des activités terroristes
Les procureurs accusent Imamoglu d’avoir soutenu une initiative du Congrès démocratique du peuple (HDK), lié au PKK, organisation terroriste classée ainsi par la Türkiye, les États-Unis et l’Union européenne. Des perquisitions ont mené à l’arrestation de 84 suspects, tandis que 22 autres sont encore recherchés.
Réactions et tensions politiques
Les autorités poursuivent leurs investigations et de nouvelles arrestations sont attendues.
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