Les violences éducatives ordinaires vis-à-vis des enfants, qu'elles soient verbales, psychologiques ou physiques, restent banalisées dans le milieu sportif malgré leurs conséquences néfastes, déplorent la Fondation pour l'Enfance et des acteurs du secteur, à l'approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris.
Plus inquiétant, selon la Fondation: près de la moitié des parents interrogés jugent difficile voire impossible d'entraîner un enfant sans crier, 34 % sans le punir, 27 % sans le bousculer et 26 % sans le gifler ou lui donner une fessée.