![Une femme s'inscrivant pour voter dans un bureau de vote lors des élections nationales à Nouakchott le 29 juin 2024. Les Mauritaniens se rendent aux urnes le 29 juin 2024 pour décider de réélire ou non le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani à la tête de ce vaste État désertique, considéré comme un roc de stabilité relative dans le Sahel instable. Environ 1,9 million d'électeurs inscrits sont appelés à choisir entre sept candidats en lice pour diriger ce pays d'Afrique de l'Ouest, qui a largement résisté à la vague de terrorisme dans la région et est en passe de devenir un producteur de gaz.](https://img.piri.net/piri/upload/3/2024/6/30/0bf7b105-mmpn3yzfi1jvide98ncfh.jpeg)
Le candidat Biram Dah Abeid arrive deuxième avec 22,76%, suivi du chef du parti du Rassemblement national pour la réforme et le développement (opposition d'obédience islamique), Hamadi Ould Sid Mokhtar, avec 13,27%, et le quatrième est l'avocat Eid Ould Mohamed, avec 3%.
En cinquième position se trouve le candidat Atoma Soumari avec 2,39%, Mamadou Boukar en sixième position avec 2,15% et, enfin, Mohamed Al-Amin Al-Murtaja Al-Wafi avec 0,98%.
Selon la Commission, les votes ont été dépouillés jusqu'à présent dans 2 669 bureaux de vote sur 4 503, nombre total des bureaux de vote dans tout le pays, soit 60,55%.
La Commission électorale nationale indépendante devrait annoncer plus tard dimanche les résultats préliminaires de l'élection présidentielle.
Samedi matin, les électeurs mauritaniens ont commencé à voter pour la huitième élection présidentielle de l'histoire du pays, destinée à choisir un nouveau président ou à renouveler le président sortant, Mohamed Ould Cheikh Al-Ghazouani.
Sept candidats sont en lice pour ce scrutin, dont notamment, le président sortant Mohamed Ould Cheikh Al-Ghazouani et le chef du parti Rassemblement national pour la réforme et le développement (opposition islamique), Hamadi Ould Sidi Al-Mokhtar.
Sont également en lice le militant des droits de l'homme Biram Al-Dah Abeid, le parlementaire de l'opposition Al-Aid Ould Mohamedan, le médecin de l'opposition Otoma Antoine Suleiman Soumare, l'homme politique Mamadou Boukare et l'inspecteur des finances Mohamed Al-Amine Al-Mortaji Al-Wafi.
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