Dans un communiqué, la communauté Idaksahak a également attiré, une fois de plus, l'attention des autorités de la transition, des mouvements signataires et de tous les partenaires du pays sur les massacres qui ont débuté depuis Mars 2022 et qui ont fait plusieurs centaines de civils tués et des milliers d’animaux emportés, en détruisant ainsi toute l'économie de la région.
La même source a aussi fait état de neuf civils tués et d'un autre enlevé qui a pu s’échapper des mains de ses ravisseurs, au niveau du village d’Emi-semis, tard dans la nuit.
Pour rappel, la région de Ménaka est confrontée, depuis le 3 mars 2022, à des attaques attribuées aux hommes armés appartenant à l'Etat islamique au Grand Sahara (EIGS).