La révision législative présentée par Bruxelles, qui devra être examinée par les États membres et les eurodéputés, vise à étendre cette interdiction aux substances chimiques pouvant constituer des perturbateurs endocriniens, ainsi qu'à celles présentant un danger pour les systèmes immunitaire, neurologique ou respiratoire.
La conformité aux règles européennes incombe au fabricant, qu'il soit ou non localisé dans l'UE, et se matérialise par le marquage "CE".
Les nouvelles règles commenceraient à s'appliquer dans les deux ans et demi suivant leur adoption, avec une période de transition d'un an.