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Économie: la croissance française stagne au deuxième trimestre 2024

La croissance du produit intérieur brut (PIB) français a ralenti au deuxième trimestre 2024, avec une hausse de seulement 0,2 %, d'après les estimations provisoires de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

15:52 - 12/09/2024 Perşembe
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La France, tout en évitant la contraction, se situe en dessous de la moyenne de la zone du G20, où la croissance a atteint 0,7 % au cours du même trimestre.
Crédit Photo : u_mevs2b9d3l / Pixabay
La France, tout en évitant la contraction, se situe en dessous de la moyenne de la zone du G20, où la croissance a atteint 0,7 % au cours du même trimestre.

Selon l'organisation, cette légère progression s'inscrit dans un contexte de ralentissement généralisé dans plusieurs grandes économies du G20.


La France, tout en évitant la contraction, se situe en dessous de la moyenne de la zone du G20, où la croissance a atteint 0,7 % au cours du même trimestre.

Les économies voisines comme l'Italie ont affiché des résultats similaires, également à 0,2 %, tandis que l'Allemagne a enregistré une contraction de 0,1 %.


Au niveau du G20, les moteurs de croissance au deuxième trimestre ont été principalement les États-Unis, la Chine et l'Inde. Toutefois, la croissance de ces deux dernières a nettement ralenti.

La Chine a vu son PIB augmenter de 0,7 %, contre 1,5 % au T1, et l'Inde de 1,3 %, contre 1,7 %. Le Brésil et l'Arabie saoudite se sont démarqués avec les taux de croissance les plus élevés (1,4 % chacun).


Le Japon, après une contraction de 0,6 % au premier trimestre, a rebondi avec une croissance de 0,7 %, tandis que les États-Unis ont vu une augmentation modeste mais stable de leur PIB (+0,7 %). D'autres pays comme la Corée du Sud et l'Allemagne ont subi des contractions.

Sur une base annuelle, la croissance du PIB du G20 a progressé de 3,1 % au T2 2024, une légère baisse par rapport aux 3,2 % du premier trimestre. Dans ce contexte, l'Inde a enregistré la plus forte croissance (+6,8 %), tandis que le Japon a connu la plus forte baisse (-0,9 %).


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