Le NFP a raflé deux vice-présidences sur six, une questure sur trois et neuf postes de secrétaire sur douze dans cette instance présidée par Yaël Braun-Pivet (Ensemble pour la République), chargée notamment de décider des sanctions contre les députés.
Avec 193 députés, mais loin de la majorité absolue, le NFP veut Matignon. Mais les formations qui composent l'alliance de gauche – La France insoumise (LFI), le Parti socialiste (PS), Les Ecologistes, le Parti communiste français (PCF) se sont montrés jusqu'ici incapables de s'entendre sur un nom pour la fonction de premier ministre.