Le Grand Prix Assia Djebar a été institué en hommage à cette figure majeure de la littérature algérienne, décédée en 2015.
Face au tollé, une membre du jury du Grand Prix Assia Djebar a défendu le roman primé.
Pour le critique littéraire Fayçal Metaoui, le tollé suscité par le roman dans une société très patriarcale s'explique en partie par le fait qu'il a été écrit par une femme.