Si la première mi-temps était néanmoins équilibrée, au retour des vestiaires les Canaris ont accéléré la cadence pour essayer de marquer un deuxième but synonyme de qualification, ne laissant aux joueurs du Pirée la possibilité de se montrer offensif que dans de rares opérations de contre-attaque vite stoppées.
Fenerbahçe s'est alors heurté à un véritable mur en la personne de Konstantínos Tzolákis, qui a stoppé trois des tirs stambouliotes, ceux de Tadic, Cengiz Ünder et Bonucci. De son côté, en inscrivant trois pénaltys dans cette séance, l'Olympiakos a eu plus de réussite, malgré les deux arrêts de Luvakovic, le portier du Fener, qui a repoussé les tentatives d'El-Arabi et de Rodinei.
Une prestation insuffisante qui laisse un goût amer aux Canaris qui n'ont jamais été aussi proches de se qualifier pour les demi-finales d'une compétition européenne.