
La France et la Suède ont signé mardi à Bruxelles une lettre d'intention en matière de coopération nucléaire, une source d'énergie décarbonée sur laquelle les deux pays ont décidé de miser massivement pour atteindre leurs objectifs climatiques.
L'accord prévoit une coopération bilatérale dans la construction de nouveaux réacteurs, mais aussi dans le cycle du combustible et dans la recherche et développement en particulier sur les futurs petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR).
La France a annoncé de son côté la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires et envisage d'en lancer huit de plus.
La Suède revient en force en tant que nation nucléaire.
La France a une avance dans le domaine du nucléaire qui fait qu'elle sera contributrice à tout projet en Europe.
La ministre a souligné que cette coopération renforcerait également les capacités industrielles suédoises et européennes, y voyant une bonne nouvelle pour faire face aux pénuries de compétences et au défi de la formation de la filière après des décennies de sous-investissement.
Outre la France et la Suède, une douzaine de pays européens misent sur une relance du nucléaire pour assurer leur approvisionnement en électricité, dont la Finlande, les Pays-Bas, la Pologne et la Roumanie.
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