Cette nouvelle tentative de pression sur les parties au conflit risque d'être bloquée par les États-Unis, alliés d'Israël.
De son côté, l'ambassadeur américain adjoint, Robert Wood, a insisté sur le fait qu'il devait y avoir un lien entre le cessez-le-feu et la libération des otages, une position qu'il défend depuis le début du conflit.
La guerre a causé le déplacement de près de 2,4 millions de Gazaouis, exacerbant la crise humanitaire dans la région.
Depuis le début du conflit, le Conseil de sécurité de l'ONU peine à se mettre d'accord, souvent bloqué par des veto américains, russes et chinois. Certaines résolutions adoptées en mars et juin n'ont pas eu d'effet concret sur le terrain.