En raison de la gravité des allégations, les soldats ont été rappelés chez eux et devront répondre de leurs actes, a poursuivi la SANDF.
Après avoir reçu le rapport de l’ONU contenant les allégations d’actes graves d’indiscipline et de mauvaise conduite de la part des soldats, l’armée sud-africaine a décidé d’y donner suite immédiatement.
La SANDF a déclaré qu’elle n’avait eu connaissance de l’incident que quelques jours plus tard, par l’intermédiaire des médias.