![Le président du Congrès national africain (ANC) Cyril Ramaphosa prête serment en tant que membre du Parlement lors de la première séance du nouveau Parlement sud-africain au Cap, le 14 juin 2024.](https://img.piri.net/piri/upload/3/2024/7/2/21caa68e-yj4qow68paaywzdla4utj.jpeg)
En obtenant seulement 40% des voix, l'ANC a choisi de s'allier avec la DA (22% des voix) plutôt qu'avec des partis de gauche radicale, rassurant d'emblée les marchés et les investisseurs.
"Sagesse collective"
Mais de nombreux analystes se demandent déjà si ce mariage de raison peut fonctionner.
L'ANC a conservé la part belle, avec vingt ministres et les postes-clé : Finances, Énergie, Affaires étrangères, Défense, Commerce ou encore Transports.
L'opposition est désormais clairement située à gauche de l'échiquier politique.
Le récent petit parti de l'ex-président Jacob Zuma, devenu en quelques mois troisième force politique du pays, a refusé de participer à la coalition. Tout comme les Combattants pour la liberté économique (EFF, gauche radicale).
À lire également:
![](/default_profile.png)