Ils dénoncent également une discrimination menée par Meta et la société Majorel, qui a succédé à Sama, affirmant que ceux d'entre eux ayant postulé pour travailler chez Majorel ont vu leurs candidatures bloquées.
Ce processus sera mené par l'ancien président de la Cour suprême kényane (2011-2016) Willy Mutunga et une représentante du ministère du Travail, Hellen Apiyo.
Meta est visé par deux autres plaintes dans la capitale kényane
Dans une autre affaire, une ONG kényane et deux citoyens éthiopiens accusent la plateforme d'inaction face aux discours de haine en ligne en Afrique, qui a notamment abouti selon eux au meurtre d'un professeur d'université en Ethiopie.