![En Géorgie, la loi impose de lourdes contraintes administratives aux ONG et médias recevant au moins 20% de leur financement de l'étranger.](https://img.piri.net/piri/upload/3/2024/6/3/70fff556-aj9lm1flruqaxx93cq4zul.jpeg)
Les députés du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, majoritaires dans l'hémicycle, avaient alors contourné le veto de la présidente pro-occidentale Salomé Zourabichvili.
Le texte a fait descendre dans la rue des milliers de manifestants, qui ont enchaîné les actions de protestation devant le Parlement pendant près de deux mois.
![](https://img.piri.net/mnresize/682/-/piri/upload/3/2024/6/3/d275fd62-jmom09hmobwewamo900hi.jpeg)
Plusieurs médias et ONG ont annoncé leur intention de contester encore le texte devant la Cour constitutionnelle géorgienne, même si cette dernière est aussi contrôlée par le Rêve géorgien, et la Cour européenne des droits de l'Homme. Certaines ont indiqué qu'elles ne se plieraient pas aux contraintes du texte.
L'entrée en vigueur du texte survient à cinq mois des législatives prévues dans cette ex-république soviétique du Caucase, vues comme un test-clé pour la démocratie dans ce pays.
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