![Autocollant qualifiant l'ancien président français de l'Olympique de Marseille, Jacques-Henri Eyraud, d'escroc, le 16 février 2021 à Marseille, dans le sud de la France.](https://img.piri.net/piri/upload/3/2024/5/29/13cf7d43-4z6meih76zgzzq1rjqu0nj.jpeg)
Les peines de deux à huit mois de prison avec sursis ont été requises mardi à l'encontre de onze hommes se revendiquant supporters de l'OM et poursuivis pour cyberharcèlement aggravé et menaces de mort contre l'ex-président du club marseillais, Jacques-Henri Eyraud.
La 10e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris fera connaître sa décision le 2 juillet.
"On aura ta peau"
"Rien ne justifie" le cyberharcèlement
Au total, une centaine de personnes avaient posté des messages haineux mais seules onze d'entre elles, qui se cachaient derrière un pseudonyme, ont pu être identifiées et poursuivies par le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH).
Les cinq prévenus présents à l'audience (les six autres ont brillé par leur absence) ont expliqué, parfois maladroitement, qu'ils avaient agi sous le coup de la colère en raison des mauvais résultats de leur club.
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