Cette décision a été annoncée par le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, à l'issue de la réunion.
Lors de la réunion du Conseil des Affaires étrangères, tenue le mois dernier, l'UE n'est pas parvenue à l'adoption unanime des sanctions. Des pays comme l'Espagne et la France avaient déjà décidé de sanctions unilatérales contre les colons extrémistes au niveau national.
Il a toutefois déclaré apprécier le débat et le dialogue autour de la question, ajoutant que le ministre israélien des Affaires étrangères sera invité à une prochaine réunion du Conseil des Affaires étrangères. Et de se réjouir:
Je constate que de nombreux pays se rapprochent de la position de décembre de l'Espagne et d'un petit groupe de pays.
L'Espagne a appelé à un cessez-le-feu immédiat et permanent à Gaza, à la libération de tous les otages et à ce que l'aide humanitaire parvienne à l'enclave palestinienne par voie terrestre.
Madrid plaide en faveur d'une conférence internationale de paix qui aboutirait à la reconnaissance d'un État palestinien viable par la communauté internationale.