Selon une source proche du Hezbollah, il s'agit du troisième haut chef militaire tué dans le sud du Liban depuis le début des violences entre le parti pro-iranien et Israël le 8 octobre, au lendemain du déclenchement de la guerre à Gaza.
Un porte-parole militaire israélien a confirmé qu'une centaine de roquettes avaient été lancées depuis le Liban.
Réactions internationales face à l'escalade des tensions
495 morts au Liban
Les violences à la frontière ont fait au moins 495 morts au Liban, dont environ 95 civils et une majorité de combattants du Hezbollah.
L'intensification des hostilités entre l'armée israélienne et le Hezbollah durant le mois de juin et la rhétorique belliqueuse des belligérants ont fait craindre une guerre totale.
Mais depuis une semaine, les combats avaient relativement baissé en intensité.