Le chantier de la mosquée d’Angers (ouest de la France) a été tagué et l’inscription "justice pour Thomas" a été retrouvée sur une palissade, selon une information révélée jeudi par un quotidien régional français.
Ce nouvel épisode intervient alors que la mort de Thomas, 16 ans, tué en marge d’une fête de village à Crepol, suscite des crispations identitaires dans tout le pays.
Depuis les faits, les mosquées de Valence ou encore de Cherbourg, ont notamment été visées par des tags, menaces de morts et injures.
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, avait condamné les faits, assurant que les autorités sont mobilisées pour retrouver les auteurs et les traduire en justice.