Le 26 février, dans le contexte d'une crise politique causée par le report de l'élection présidentielle, et afin de promouvoir la réconciliation nationale, le président Sall a annoncé une loi d'amnistie générale pour tous les faits relatifs aux manifestations politiques qui ont eu lieu entre 2021 et 2024, rappelle l'ONG ajoutant que le 28 février, le Conseil des ministres du Sénégal a approuvé le projet de loi, soumis au vote des députés en session plénière ce mercredi.
Au moins 40 personnes ont été tuées lors d'affrontements violents depuis mars 2021, sans que quiconque n'ait été obligé de rendre des comptes, note encore l'ONG.