C'est ce qui ressort d'une rencontre avec la présidente du Conseil des ministres italien, Georgia Meloni, en marge de la Conférence internationale sur le développement et la migration, qui s'est tenue dimanche dans la capitale italienne, Rome, selon un communiqué de la présidence de la République tunisienne.
Cette décision a été prise à l'issue d'une réunion au Palais de Carthage, à laquelle ont participé le président Saïed, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, la première ministre italienne, Georgia Meloni, et le premier ministre néerlandais, Mark Rutte.
La Tunisie traverse une grave crise économique, exacerbée par les répercussions de la pandémie de coronavirus, le coût élevé des importations d'énergie et de matériaux de base en raison de la guerre russo-ukrainienne, et une augmentation du nombre de migrants en situation irrégulière sur son territoire.