L'attaque aurait fait des morts et des blessés, notamment le meurtre d'Amna Ahmed Bakhit, une pharmacienne qui était de nuit à ce moment-là, selon le communiqué.
Depuis la mi-avril 2023, l'armée soudanaise, dirigée par Abdel Fattah al-Burhan, et les Forces de soutien rapide, dirigées par Muhammad Hamdan Dagalo (dit Hemedti), mènent une guerre qui a fait environ 15 000 morts et environ 8,5 millions de déplacés et réfugiés, selon les Nations unies.
Les appels de l'ONU et de la communauté internationale se sont multipliés pour éviter que le Soudan soit en proie à une catastrophe humanitaire qui pourrait pousser des millions de personnes à la famine et à la mort, en raison de pénuries alimentaires dues aux combats qui se sont étendus à 12 des 18 États du pays.