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Lundi soir, l'accord entre les partis de gauche a été accueilli par des ovations lors d'une manifestation place de la République à Paris. Cette union marque une tentative de renouveau pour la gauche française, qui espère ainsi contrer l'influence grandissante du Rassemblement national.
Un peu plus tôt, Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place publique et premier parti de gauche aux européennes avec près de 14 % des voix, a proposé Laurent Berger, ancien dirigeant de la CFDT, comme Premier ministre potentiel. Cette proposition a suscité des réactions mitigées au sein de la gauche.
Fabien Roussel a affirmé que:
Jean-Luc Mélenchon n'était pas dans les discussions.
Sur France Inter, la secrétaire de la CGT, Sophie Binet, a renouvelé l'appel à manifester contre l'extrême droite.
Le Président français, Emmanuel Macron, doit tenir une conférence de presse mardi après-midi, deux jours après la victoire du Rassemblement national et la défaite de la majorité présidentielle aux élections européennes, suivie de la dissolution de l'Assemblée nationale.
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