
Une ex-prisonnière israélienne, libérée dans le cadre d’un échange avec Gaza, affirme avoir reçu des menaces et des insultes de la part de partisans du Premier ministre Benjamin Netanyahu, après avoir tenu ce dernier pour responsable de l’attaque du 7 octobre.
Parallèlement, l’armée israélienne a repris ses attaques meurtrières sur la bande de Gaza depuis le 18 mars, rompant un cessez-le-feu et un accord d’échange de prisonniers conclus en janvier. Ces frappes ont causé près de 1 500 morts et 3 700 blessés supplémentaires.
La semaine dernière, Netanyahu a promis d’intensifier les opérations contre Gaza, dans un contexte où des démarches sont en cours pour mettre en œuvre le plan de déplacement des Palestiniens proposé par l’ancien président américain Donald Trump.
Depuis octobre 2023, plus de 50 800 Palestiniens, majoritairement des femmes et des enfants, ont été tués dans les bombardements israéliens.
En novembre dernier, la Cour pénale internationale (CPI) a délivré des mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahu et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, les accusant de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à Gaza.
Israël fait également l’objet d’une procédure pour génocide devant la Cour internationale de Justice (CIJ) en lien avec sa guerre contre la population de Gaza.
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