Ramaphosa a déclaré que l'Afrique du Sud poursuit une transition énergétique juste, à un rythme et à une échelle que son pays peut se permettre, et d'une manière qui garantit la sécurité énergétique et crée de nouvelles opportunités pour les personnes concernées.
L'industrie minière est confrontée à certains défis qui nuisent à son environnement opérationnel, comme notamment la volatilité des prix mondiaux des matières premières, les prix élevés de l'énergie et les tensions géopolitiques, entre autres facteurs, a-t-il indiqué.
En Afrique du Sud, l'industrie est confrontée à une crise énergétique et à des goulots d'étranglement dans les ports et les chemins de fer qui exercent une pression considérable sur les coûts d'exploitation des sociétés minières, a ajouté Ramaphosa avant d'ajouté:
Nous sommes déterminés à travailler dur et à travailler ensemble pour surmonter ces graves défis.
Ramaphosa a déclaré que l'Afrique du Sud a obtenu 1 384 mégawatts de nouvelle capacité de production actuellement en cours de construction ou déjà en exploitation pour alléger le fardeau de l'industrie minière, qui contribue actuellement à hauteur d'environ 7,5 % au produit intérieur brut et représente environ 60 % des exportations de l'Afrique du Sud.
Parmi les dirigeants régionaux attendus et qui devraient prendre la parole lors de l'Investing in Africa Mining Indaba figurent le président zambien Hakainde Hichilema et le Premier ministre de la République démocratique du Congo, Jean-Michel Sama Lukonde.