Les mandats d'arrêt émis jeudi par la CPI contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du mouvement de résistance palestinien Hamas Mohammed Deif pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, ont suscité une vague de réactions à travers le monde. Voici les principales.
Union européenne
Il a, en outre, appelé tous les pays membres de la Cour, y compris l'UE, à mettre en œuvre cette décision.
États-Unis
Nous serons toujours aux côtés d'Israël face aux menaces contre sa sécurité.
Israël
Palestine
Amnesty
Les États membres de la CPI et l'ensemble de la communauté internationale doivent tout faire pour que ces individus comparaissent devant les juges indépendants et impartiaux de la CPI.
Human Rights Watch
Italie
Espagne
Belgique
Pays-Bas
La Haye a cependant expliqué ce report par le fait que le déplacement, non annoncé, avait été révélé par un député au Parlement.
Autriche
Hongrie
Colombie
Le président colombien Gustavo Petro a lancé:
C'était la chose logique à faire. Netanyahu est un génocidaire. La CPI le dit et cette décision doit être respectée.
Gustavo Petro assure notamment que l'Occident doit retrouver son indépendance en matière de politique internationale et prendre des mesures pour se conformer au jugement de la Cour.
Argentine
Turquie
Selon le dernier bilan, 44.056 personnes sont mortes dans les attaques menées par Israël à Gaza depuis maintenant plus d'une année.