![Un avion roule sur la piste à l'aéroport international du Cap, en Afrique du Sud, le 13 juin 2024.](https://img.piri.net/piri/upload/3/2024/6/25/c91595c4-9j59ylo41mu2cnib47j3zh.jpeg)
Transport & Environment (T&E), groupe basé à Bruxelles, s'est appuyé sur des relevés autour de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol mesurant la concentration de ces particules dans l'air, effectués par l'Institut national pour la santé publique et l'environnement néerlandais (RIVM).
Les PUF sont en effet moins bien connues que leurs grandes sœurs au diamètre plus important, les PM10 et PM2,5 (particules fines), dont les effets néfastes sur l'organisme humain sont scientifiquement établis.
En extrapolant la pollution constatée autour de Schiphol à l'ensemble du continent, T&E estime que 52 millions de personnes, vivant dans un rayon de 20 km autour des 32 principaux aéroports européens, peuvent voir leur santé affectée par ces concentrations de PUF.
En février, l'observatoire de la qualité de l'air en région parisienne avait relevé des concentrations de 23 000 PUF par cm3 au cœur de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG), une valeur similaire à celle le long du boulevard périphérique parisien.
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