Le 1er novembre, Idrissa Madaki, porte-parole du FPL, ainsi que trois autres combattants, s'étaient rendus séparément dans deux villes proches de la frontière libyenne, selon l'armée nigérienne et la télévision nationale.
Depuis plusieurs semaines, les autorités de Niamey, confrontées par ailleurs à des attaques terroristes, ont "renforcé la sécurité" avec des patrouilles militaires, des contrôles et fouilles de véhicules et motos.