Eurogas s'alarmait:
Cela risquerait d'accroître et de prolonger le déséquilibre de l'offre au niveau mondial.
Parmi eux, quatre dossiers en cours d'examen par le Department of Energy (DOE) sont concernés par la suspension.
Les États-Unis ont augmenté leur part dans les importations européennes de 43% en 2022 à 47% en 2023, devenant leur premier fournisseur de GNL.
De quoi susciter de nouvelles questions sur l'approvisionnement en Europe, sous tension depuis la guerre en Ukraine en février 2022 et la décision de Moscou de couper ses livraisons de gaz par pipelines.
Le charbon gagnant?
À plus long terme, c'est plus incertain. Il ajoute:
Cette question concerne en fait ce qui se passera après, car les nouveaux projets de GNL américains viseraient à répondre à la demande attendue dans les années 2030 et 2040.
Le Mexique, le Canada, le Mozambique et potentiellement la Russie pourraient augmenter leur part de marché au-delà des prévisions actuelles.