Dans un entretien accordé au correspondant d'Anadolu, Burak Daglioglu, président du Bureau d'investissement de la présidence de la République de Türkiye, a fait un point sur la situation des investissements directs internationaux (IDI).
C'est la première fois depuis l'épidémie de Covid-19 en Europe, qu'il y a une diminution des projets UDI par rapport à l'année précédente, ce qui s'explique d'après Daglioglu par la faible croissance économique, l'inflation élevée, la hausse des prix de l'énergie et les risques géopolitiques.
Alors que les projets d'investissements directs internationaux dans les secteurs des services ont diminué de manière significative, la baisse dans le secteur manufacturier s'est limitée à 1%.
C'est la France qui a attiré le plus de projets l'année dernière mais elle a connu une baisse de 5% par rapport à 2022, suivi par le Royaume-Uni, deuxième au classement avec une augmentation de 6% par an, alors que l'Allemagne, classée troisième, a vu les investissements directs internationaux diminuer de 12% par an.
La Türkiye était classée cinquième en 2022
Ainsi, la Türkiye, classée cinquième en 2022, s'est hissé à la quatrième place grâce à son attrait grandissant auprès des investisseurs.
Nous nous efforçons d'offrir une expérience d'investissement de haut niveau aux investisseurs internationaux.
Ce dernier a rappelé que la Türkiye est une destination d'investissement attrayante au niveau mondial qui offre une expérience d'investissement de haut niveau aux investisseurs internationaux.
La Türkiye a, au cours des dix dernières années, maintenu sa position de leader dans une vaste géographie couvrant l'Europe centrale et orientale, le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, en particulier pour les investissements dans le secteur manufacturier.
