Ce texte portera sur cinq infractions, dont la trahison, l'insurrection et l'espionnage, ont indiqué plusieurs responsables dont John Lee, chef de l'exécutif du territoire du sud de la Chine.
Il s'agit d'une responsabilité constitutionnelle de (Hong Kong) (...) qui n'est pas assumée 26 ans après la rétrocession du territoire à la Chine par le Royaume-Uni en 1997.
De gigantesques manifestations pro-démocratie ont secoué la place financière en 2019, quand des centaines de milliers de personnes protestaient pour réclamer davantage de libertés.
"Menaces"
Quelques agents étrangers pourraient encore être actifs à Hong Kong.
Plus de 30 personnes ont été condamnées pour des infractions à la sécurité nationale.
Des opposants à la loi de sécurité nationale affirment que le texte à la portée étendue a eu un impact sur le statut de Hong Kong en tant que centre financier international, soulignant la fuite actuelle des talents, au moment où des entreprises étrangères remettent en cause le choix de Hong Kong comme pôle asiatique.
En 2003, un projet de texte local sur la sécurité nationale avait dû être abandonné sous la pression de quelque 500.000 manifestants opposés à la législation.